Chose promise, chose dûe, je vous propose aujourd'hui de participer à un concours en lien avec la maison d'édition Cogito (Site).
Pour participer rien de très compliqué :
* Aimer ma page Facebook (si ce n'est déjà fait) : Page Facebook Blog Les lectures de lailai
* Aimer la page de Cogito : Facebook Cogito
* Me laisser un commentaire (seule la participation sur le blog sera prise en compte et non sur la page Facebook) sous cet article avec pourquoi pas des petits mots gentils et surtout votre ou vos choix de livre si vous gagnez (attention : vous pouvez postuler pour les 4 livres s'ils vous tentent mais il y aura un gagnant différent par livre) Si vous souhaitez avoir une chance supplémentaire, vous pouvez ajouter un lien de partage du concours. Le tirage au sort sera fait à suivre. Si une personne se positionne pour les quatre livres et qu'elle est tirée au sort en premier, je lui demanderai de faire le choix d'un livre et ainsi de suite...
Le concours est ouvert jusqu'au 31/10/2015
Une fois les résultats donnés, vous avez 7 jours pour vous manifester et me laisser vos coordonnées, sinon une autre personne sera tirée au sort.
Voici les livres à gagner :
Résumé :
Il s’agit du roman Mille raisons d’aimer Lilo, par l’auteur Denis Brillet (Prix Flaubert 2013 pour « Lignes de vie », paru chez Jacques Flament éditions) qui réside près de Lisieux en Vallée d’Auge, là où se déroule d’ailleurs l’histoire de ce roman..
Mille raisons d’aimer Lilo… et mille raisons d’aimer ce roman qui en dit tellement sur le regard de notre société « bienveillante » sur le handicap et notamment sur le
handicap chez l’enfant. N’y aurait-il que celui-ci pour voir la beauté des êtres, quels qu’ils soient, et du monde. L’adulte serait-il à ce point vide de sentiment et
d’empathie ?
Mille raisons d’aimer Lilo… et mille raisons d’aimer ce roman qui en dit tellement sur le regard de notre société « bienveillante » sur le handicap et notamment sur le
handicap chez l’enfant. N’y aurait-il que celui-ci pour voir la beauté des êtres, quels qu’ils soient, et du monde. L’adulte serait-il à ce point vide de sentiment et
d’empathie ?
Résumé :
Vibration dans la poche de son jean. Ouf, le voilà sauvé, il va pouvoir quitter le bureau plus vite. Bref salut au divisionnaire et déjà dans le couloir.
-Oui Chantal? Qui-a-t-il?
-Une disparition suspect dans un cirque, 128 avenue Choisy, on vient d’appeler le directeur du cirque.
-…
-Commandant? Toujours là?
-Oui…oui, désolé, j’étais ailleurs. Tu disais, une disparition? Un cirque, c’est ça?
-Oui, je pense que cela t’intéresse! J’ai songé à toi tout de suite, évidemment.
-Tu as bien fais, Chantal, je te remercie. Je pense que le patron acceptera de me confier cette mission. Plus je suis loin du bureau et plus il se sent bien. Moi aussi, remarque. On a des informations sur le contexte de la disparition?
-Non, le directeur n’était pas très bavard au bout du fil. Il m’a parlé d’une artiste qui a disparue depuis deux jours. Le directeur s’appelle Alberto Angelini, et c’est aussi le nom du cirque. Une affaire familiale de toute évidence.
Résumé :
Chaque nuit. Les mêmes cauchemars. Lucie retarde le moment où elle finit par sombrer dans le sommeil. Hantée par des visions macabres. Chaque nuit. Ces mêmes mots. A l’intérieur de son crâne. Murmurés par une voix liquide. Pour se réveiller la jeune fille doit déchirer son rêve. Hurler plus fort que la voix. Et son cri vient s’étrangler dans sa gorge. Chaque nuit…Rêve, fantasme ou prémonition? C’est ce qu’elle va découvrir, entrainée dans un voyage intérieur, où l’ombre n’est pas toujours de la lumière en devenir…
Résumé :
"Qui pourrait me croire , si je racontais ? Je suis en enfer . Il crie si fort pour que je fasse ce travail, je cède, il me fait peur , ..S'il me voit inactive , il me tuera. Alors jenlève les cailloux et sème du gazon , je ratisse ; en pleine canicule , l'arroseur tourne matin et soir pour faire pousser la pelouse cette pelouse qu'il veut immédiatement. Dans le même temps il m'interdit l'usage des tuyaux pour arroser les plantes fragiles. Jusque très tard dans la ,nuit je ramène des bidons de la rivière et j'arrose les assoiffés. Je n'en peux plus . Je tombe à genoux. Il faudrait fuir mais je ne sais comment, je ne peux pas , je ne peux pas quitter mon jardin "
Marie Murski est tombée entre les mains puissantes d'un prédateur pervers narcissique. Amoureuse , elle n'a pas vu le piège , ni le chasseur , ni l'affût.
Elle décrit le processus irréversible de la violence , de la terreur , du décervelage, année après année, durant quatorze ans. Mise en esclavage , enfermée dans un jardin qui est son uvre et dont elle finit par comprendre qu'il sera son cimetière, elle est pourtant incapable de le quitter , de s'enfuir en le laissant voué à la destruction .
ELLE TÉMOIGNE ICI POUR TOUTES SES SOEURS D'INFORTUNE
Marie Murski est tombée entre les mains puissantes d'un prédateur pervers narcissique. Amoureuse , elle n'a pas vu le piège , ni le chasseur , ni l'affût.
Elle décrit le processus irréversible de la violence , de la terreur , du décervelage, année après année, durant quatorze ans. Mise en esclavage , enfermée dans un jardin qui est son uvre et dont elle finit par comprendre qu'il sera son cimetière, elle est pourtant incapable de le quitter , de s'enfuir en le laissant voué à la destruction .
ELLE TÉMOIGNE ICI POUR TOUTES SES SOEURS D'INFORTUNE