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mardi 29 octobre 2019

A la tombée du jour




Détails :
Auteur : Mary Kubica

Nombre de pages :
Edition : Harper & Collins
Genre : Thriller


Résumé :

Après le décès de sa mère, Eden, Jessica Sloane essaye de reconstruire sa vie. Elle loue un nouvel appartement, s’inscrit à la fac. Mais lorsque l’université l’informe que son numéro de sécurité sociale n’est apparemment pas valide et correspond à une autre Jessie Sloane, toutes ses certitudes volent en éclats. Pire : lorsqu’elle fouille dans les papiers d’Eden, elle se rend compte que celle-ci ne l’a jamais déclarée à charge dans ses revenus…
Les jours passent et le mystère ne fait que s’épaissir, aggravé par l’insomnie chronique dont souffre Jessie. Entre l’épuisement et le deuil, sans carte d’identité ni compte en banque, elle commence à perdre pied. Pourquoi sa mère lui a-t-elle caché qui elle était ? Pourquoi a-t-elle toujours refusé de lui parler de son père ? Toute sa vie n’est-elle qu’un terrible mensonge ?

 
Mon avis :

Pour mon article du 27 octobre j'ai choisi de parler d'un thriller. J'essaie de lire tous les styles pour me façonner un choix littéraire vaste et ne pas me lasser d'un genre en particulier.

Mary Kubica dont j'avais lu "Ne pleure pas" et j'avais aimé son style d'écriture. J'aime les thrillers qui sont axés sur la psychologie des personnages plutôt que sur l'aspect sanglant des événements.

Une fois de plus j'ai été servie avec ce roman. Jessica est une jeune femme attachante qui donne envie de la suivre et trouver avec elle les réponses aux questions qu'elle se pose. Alors effectivement l'action n'est pas le menu principal du roman mais tout ce travail autour de l'état d'esprit de Jessica mais aussi des autres personnages est plutôt très intéressant.

Je vous laisse découvrir ce que j'en ai dit dans mon article :


 Je vais continuer de suivre cette auteure pour ses histoires mais aussi pour son style et ainsi voir l'évolution dans l'écriture.




Quelques infos sur l'auteure :




Après des études d’arts et d’histoire de la littérature américaine, Mary Kubica a d’abord été enseignante. Aujourd'hui écrivain à temps plein, cette passionnée de Dickens et d'Hemingway vit près de Chicago, la ville dont est originaire Mia, l'héroïne d'"Une fille parfaite". Ses livres sont publiés aux éditions Mosaïc.
 Son second roman' L'inconnue du quai' est paru en avril 2016.
 Site : http://www.marykubica.com/
Facebook : https://www.facebook.com/pages/Mary-Kubica-Author
Twitter : https://twitter.com/MaryKubica

source : babelio

mardi 22 octobre 2019

Tout quitter




Détails :
Auteur : Anaïs Vanel

Nombre de pages : 192
Edition : Flammarion
Genre : Contemporain / autobiographie


Résumé :

« Un jour, j'ai acheté un Berlingo. J'ai mis quelques cartons dans le coffre et je suis partie. J'ai pris la route comme ça. Après ma journée de boulot, comme on part en week-end. J'ai avalé les kilomètres, en écoutant King of the Road, de Roger Miller. Et enfin. Les pins. Les dunes. Les embruns. L'appartement. J'ai éventré les cartons. Trouvé mon maillot de bain. Et je suis allée me jeter dans les vagues. »

Au rythme des saisons et des vagues de la Sud, la grande plage près de laquelle elle vient de s'installer, Anaïs retrouve les souvenirs qui habitent en elle. Devant l'étonnante simplicité des choses, tout quitter signifie la réconciliation avec soi.


Mon avis :


"Tout quitter" est le premier roman (autobiographique un peu) de Anaïs Vanel.
Ce livre est comme un arrêt sur image.

Il pose le constat d'une vie dans laquelle il reste tant à explorer mais à l'instant où l'auteure a pris le crayon, le temps se fige. Elle veut transmettre ce qui a fait qu'un jour elle a pris sa voiture et est partie.

En lisant ce livre, chacun pourrait imaginer faire pareil que l'auteure un jour. La vie n'est pas figée et les choix font que la route prend un chemin plus ou moins tortueux. Mais tout le monde n'a pas la capacité de prendre ce risque et d'aller au bout. Pourtant Anaïs Vanel montre par une écriture facile d'accès, des images très parlantes que ce n'est pas impossible de changer de vie.

Un récit qui se lit vite et qui pose la question de ce que nous faisons aussi de nos souvenirs. Ils sont les façonneurs de nos vies alors en grandissant nous les gardons en tête pour en faire des bases de construction solide ou alors nous préférons oublier pour échapper parfois à notre destin.

Dans le cas de Anaïs Vanel, rapidement on comprend qu'ils ne sont pas loin mais qu'en fait-elle ?

Un premier roman qui m'a plu pour ce qu'il est, une promesse d'écriture riche et une découverte d'une nouvelle auteure à suivre !

Voici donc pourquoi je l'ai présenté dans mon article du 20 octobre 2019 :

 



Quelques infos sur l'auteure :


Anaïs Vanel est une éditrice et auteure.
 Elle a été rédactrice en chef et a dirigé la collection Glamour chez "Fluide Glacial" en travaillant en particulier sur "Fluide.G", un magazine de BD pour un public féminin.
Elle a également co-dirigé le journal "Bisou" et a été à la tête du label de bandes dessinées Tapas.
Elle se consacre aujourd'hui à l'écriture et à sa nouvelle vie au bord de l'océan. "Tout quitter" (2019) est son premier roman.
Twitter : https://twitter.com/anaisvanelanais


mardi 15 octobre 2019

Cent millions d'années et un jour




Détails :
Auteur : Jean-Baptiste Andrea

Nombre de pages : 320
Edition : L'iconoclaste
Genre : Contemporain


Résumé :



1954. C’est dans un village perdu entre la France et l’Italie que Stan, paléontologue en fin de carrière, convoque Umberto et Peter, deux autres scientifiques. Car Stan a un projet. Ou plutôt un rêve. De ceux, obsédants, qu’on ne peut ignorer. Il prend la forme, improbable, d’un squelette. Apatosaure ? Brontosaure ? Il ne sait pas vraiment. Mais le monstre dort forcément quelque part là-haut, dans la glace. S’il le découvre, ce sera enfin la gloire, il en est convaincu. Alors l’ascension commence. Mais le froid, l’altitude, la solitude, se resserrent comme un étau. Et entraînent l’équipée là où nul n’aurait pensé aller.

De sa plume cinématographique et poétique, Jean-Baptiste Andrea signe un roman à couper le souffle, porté par ces folies qui nous hantent.
 
Mon avis :

Jean-Baptiste Andrea nous propose un deuxième roman à l'opposé de son premier dans la situation géographique notamment.
Nous entrons alors dans un roman saisissant au propre comme au figuré.

Stan est un homme habité par une seule idée, trouver ce qui lui donnera une liberté totale pour la fin de sa vie. Pour cela il va devoir faire appel à des amis car gravir la montagne jusqu'au point le plus élevé pour tenter d'apporter un plus à l'Histoire ne se résume pas à une journée de marche.

Rapidement l'étau se resserre autour de Stan. On est dans sa peau, on est dans sa tête, on a l'espoir comme lui d'arriver en haut et de trouver la clé qui ouvrira toutes les portes.

L'ascension prend un tournant décisif pour Stan quand il doit faire preuve d'humanité et de respect envers ses amis. Etant obsédé par un seul but il lui arrive de ne plus penser à autre chose. Cette épopée va donc être aussi le point d'orgue pour affronter ce que chacun a été, est et sera !

J'avais aimé son premier roman "Ma reine" mais celui-ci dépasse largement le niveau atteint.

J'ai retrouvé une écriture solide, riche et exaltante. Les sensations ressenties étaient proches des descriptions, le froid provoqué par les silences, les attentes et les déceptions des 3 héros était minime face au ressenti des personnages mais malgré tout bien présent.

La valeur donnée aux paysages, aux lieux, aux émotions est remplie de beauté. L'impression d'être avec eux au sommet de cette montagne ne m'a pas quittée.

Et puis, suivre Stan, parti à la poursuite d'un rêve de gosse est un formidable voyage introspectif pour soi aussi.

Une citation ressort de ma lecture :
 "Les seuls monstres, là-haut, sont ceux que tu emmènes avec toi."

C'est vrai, nous sommes maîtres de nos vies, nous l'oublions mais Jean-Baptiste Andrea nous rappelle à l'ordre et nous fait réfléchir un instant sur ce qui alimente nos destins finalement !

Ce voyage est un formidable outil pour se mettre en quête nous aussi.

C'est un roman qui est majestueux je trouve dans son approche de l'humain et l'aspect presque féérique des paysages adoucit le propos car Stan reste un homme touché, meurtri par son histoire.

J'ai aimé sa façon de voir la vie, de faire de son histoire une force même si rien n'est jamais simple, il a osé toucher son rêve du bout des doigts et c'est avec pudeur que l'on quitte cette lecture, touché par l'émotion des métaphores, des idées transmises par l'auteur.

Son seul petit bémol reste dans le fait que les autres personnages ont parfois manqué un peu de saveur à côté de Stan et même si je vois mal une suite à ce livre, j'aurai adoré creuser la psychologie de chacun pour voir jusqu'où ils seraient allés.

Un livre à lire avec une couette bien chaude, une bouillotte en plus si vous craignez d'avoir froid arrivé au sommet ;)
 



Quelques infos sur l'auteur :



Jean-Baptiste Andrea est un réalisateur, scénariste et écrivain français.
 Il grandit à Cannes, où il est élève de l'Institut Stanislas et fait ses premières expériences de scène, d'écriture et de réalisation. Il est diplômé de l'Institut d’Études Politiques de Paris et de l'ESCP-Europe.
 Il écrit ses premiers films en anglais. Il a écrit et réalisé "Dead End" (2003), coréalisé avec Fabrice Canepa, qui a obtenu plusieurs prix, "Big Nothing" (2006) avec David Schwimmer et Simon Pegg, et "La Confrérie des larmes" (2013), avec Jérémie Renier et Audrey Fleurot. 
Son premier roman publié en 2017, intitulé "Ma Reine", remporte plusieurs prix dont le Prix Femina des lycéens 2017, le Prix du premier roman de la La Forêt des livres 2017, le Prix "Envoyé par La Poste" 2017 ou encore le Prix Alain-Fournier 2018.
 page Facebook : https://www.facebook.com/RomanMaReine/
 En août 2019, sortie du roman : « Cent millions d’années et un jour », aux éditions L’iconoclaste.
 


lundi 14 octobre 2019

La vie rêvée des chaussettes orphelines




Détails :
Auteure : Marie Vareille

Nombre de pages : 410
Edition : Charleston
Genre : Chick-litt


Résumé :

Sur le papier, Alice va très bien : célibataire parfaitement assumée, elle a une carrière en or dans la finance à New-York, un loft avec vue sur Central Park et un secret si profondément enfoui qu’elle peut presque prétendre l’avoir oublié. Certes, elle ne dort plus sans somnifères, elle collectionne les crises d’angoisse, les TOC et les névroses, mais on ne va pas en faire tout un plat. Tout le monde a ses petits secrets, non ? Mais le problème avec les petits secrets, c’est qu’ils peuvent générer de grosses complications… et si Alice est devenue experte à fuir le passé, elle est beaucoup moins douée quand il s’agit d’affronter la réalité.

Mon avis :

Alice, jeune américaine, débarque à Paris après avoir eu des moments compliqués dans sa vie. Son objectif : trouver du travail pour subvenir à ses besoins. 
Elle va ainsi intégrer une start-up à l'idée aussi originale que l'état d'esprit de celui qui gère l'entreprise : rassembler à travers le monde les chaussettes orphelines. 

En apparence, un bon roman de chick-litt en vue ! La juste dose de tous ces ingrédients qui permettent de passer du bon temps.

C'est sans compter sur le passé de Alice qui va nous mener d'un point A à un point B avec tellement de suspens que vous ne saurez plus quoi faire d'autre que lire ce livre.

Avec toute l'équipe qui gravite autour de Alice, c'est un véritable bouleversement qui va s'insinuer dans sa vie. Au fur et à mesure les détails donneront des explications sur Alice mais il faudra bien attendre la fin du roman pour tout bien comprendre. Et quelle fin ! Elle est à la fois inattendue et logique.


C'est un roman qui m'a bien surprise. Je m'attendais à un texte dans le genre chick-litt mais sans grand suspens et donc je me suis trompée. J'ai adoré les personnages créés par Marie Vareille, ils ont chacun une psychologie particulière et on a tous envie de les serrer dans nos bras à un moment donné. Une bonne dose d'humour parsemée d'émotions et nous voilà enveloppés dans un plaid avec le chocolat chaud et le chat sur  les genoux à savourer ce livre.



Non franchement, c'est un très joli roman que nous propose l'auteure, sa plume est dynamique, son style est rempli de montagnes russes émotionnelles et y glisser l'originalité d'un sujet autour des chaussettes orphelines c'était malin, très malin !

Je l'ai donc choisi pour le présenter dans ma chronique du dimanche 13 octobre dans le Courrier de l'Ouest :




 



Quelques infos sur l'auteure :




Marie Vareille est une romancière et blogueuse qui vit à Paris.
Diplômée de l’ESCP-Europe et de l'Université de Cornell aux États-Unis, elle travaille en tant que Community Manager pour une start-up française.
 Depuis toujours, ses deux grandes passions sont les livres et les voyages. Elle a notamment parcouru l’Asie, l’Amérique Centrale et l’Amérique du Sud en sac à dos.
 Fan de chick-lit et de comédies romantiques, elle partage ses coups de cœurs littéraires sur son blog.
 Elle est l'auteure de trois romans feel-good : "Ma vie, mon ex et autres calamités" (City Éditions, 2014), "Je peux très bien me passer de toi" (Éditions Charleston, 2015 – 1er Prix Confidentielles 2015), et "Là où tu iras j’irai" (Fayard/Mazarine 2017).
 Elle est également auteure d’un roman jeunesse : "Elia, la Passeuse d’âmes" (2016), qui a remporté 4 prix : celui du meilleur roman jeunesse du Parisien/Aujourd’hui en France, le Prix Pierre Bottero 2017, le Prix de la PEEP Maroc 2017 et le Prix des Dévoreurs 2017.

son site : https://marievareille.com/
son blog : http://marielitenpyjama.com
Instagram : https://www.instagram.com/marie_vareille/

Source : http://marievareille.com



lundi 7 octobre 2019

Les Victorieuses




Détails :
Auteur : Laetitia Colombani

Nombre de pages : 224
Edition : Grasset
Genre : Contemporain


Résumé :
A 40 ans, Solène a tout sacrifié à sa carrière d'avocate : ses rêves, ses amis, ses amours. Un jour, elle craque, s'effondre. C'est la dépression, le burn-out. Tandis qu'elle cherche à remonter la pente, son psychiatre l'oriente vers le bénévolat : sortez de vous-même, tournez-vous vers les autres, lui dit-il. Peu convaincue, Solène répond pourtant à une petite annonce : " association cherche volontaire pour mission d'écrivain public " .
Elle déchante lorsqu'elle est envoyée dans un foyer pour femmes en difficultés... Dans le hall de l'immense Palais de la Femme où elle pose son ordinateur, elle se sent perdue. Loin de l'accueillir à bras ouverts, les résidentes se montrent distantes, insaisissables. A la faveur d'un cours de Zumba, d'une lettre à la Reine d'Angleterre ou d'une tasse de thé à la menthe, Solène va découvrir des femmes aux parcours singuliers, issues de toutes les traditions, venant du monde entier.
Auprès de Binta, Sumeya, Cynthia, Iris, Salma, Viviane, La Renée et les autres, elle va se révéler étonnamment vivante, et comprendre le sens de sa vocation : l'écriture. Près d'un siècle plus tôt, Blanche Peyron a un combat. Capitaine de l'Armée de Salut, elle rêve d'offrir un toit à toutes les femmes exclues de la société. Sa bataille porte un nom : le Palais de la Femme. Le Palais de la Femme existe.



Mon avis :

Les Victorieuses, le deuxième roman de Laetitia Colombani. Celui dont on attend au moins autant que le premier quand celui-ci est un véritable succès.

Laetitia Colombani réussi donc le pari de nous faire découvrir un nouvel univers dans lequel une femme va jouer un rôle primordial pour l'Histoire. C'est ainsi que Blanche Peyron va venir à notre rencontre. Elle est capitaine à l'Armée du Salut. Elle va se battre sans relâche même quand sa propre vie sera en danger. Son unique but est de sauver toutes ces femmes qu'elle croise. La misère ne peut plus durer. Voilà ce que sera la vie de Blanche Peyron.

En parallèle, Solène, jeune quarantenaire, sombre en dépression à la suite d'une audience qui s'est finie en drame. Elle a tout sacrifié à sa carrière d'avocate. Quand elle sombre elle ne peut que constater sa solitude. Malgré tout elle a la lucidité de suivre le conseil de son psy : faire du bénévolat. Elle ira donc en mission dans ce lieu encore bien chargé de l'âme de sa fondatrice "Le Palais de la Femme" à Paris.

Rien ne sera facile pour Solène une fois la porte du palais franchie. On ne gagne pas la confiance de ces résidentes si facilement. Il lui faudra montrer de la patience, de la persévérance. En sera t'elle capable ? Saura t'elle trouver son nouveau chemin de vie ?

Si vous commencez à lire une page, vous ne vous arrêterez qu'à la fin, impossible d'interrompre le charme. Chaque chapitre recèle un trésor. Chaque mot est autant de promesses.

Laetitia Colombani affirme et confirme son style : un engagement sincère et nécessaire aux causes qui troublent notre monde.

Ici la Femme est à l'honneur. Dans leurs blessures ce sont nos blessures que nous retrouvons. Leurs vies deviendront vos combats. Après la lecture de ce livre, un réel doute s'insinue en moi. Est-ce que dans 20 ans nous devrons encore écrire et combattre cette inégalité entre les sexes ? J'aimerais tellement que les sujets littéraires futurs soient plus légers…

J'ai été captivée par cette histoire car je me suis sentie impliquée, et solidaire vis à vis de ces histoires de femmes meurtries. Je ne sais pas de quoi demain sera fait et si une personne que je connais où moi-même devons vivre une situation difficile j'espère que l'aide sera spontanée.

Ce roman donne encore plus envie d'agir, même si c'est à mon petit niveau je veux que toi qui me lis sache que si tu as besoin je serai là pour apporter mon aide, une écoute attentive et une aide concrète si possible.

Ce livre est un coup au cœur je crois. Il porte ce que l'humanité fait de pire tout en laissant apparaître un soupçon d'espoir. Il faut entretenir et faire grandir cet espoir pour qu'un jour les auteur(e)s tels que Laetitia Colombani puisse écrire plus sereinement.

Ce roman est fort et percutant. Je vous fais la promesse que cette lecture ne vous laissera pas indifférent et que son impact résonnera longtemps en vous. En tout cas je vous le souhaite car au-delà du thème c'est une écriture vibrante, passionnante et riche que l'auteure nous livre.

J'ai donc placé ce livre dans mes coups de cœur pour 2019, vous l'aurez aisément deviné.

Pour mon article hebdomadaire je l'ai aussi choisi, voici le lien et la photo pour ceux qui n'arrivent pas à aller sur site :